«J'ai regardé la personne qui le travaillait, une brune de 18 ou 20 ans. Pendant qu'elle était occupée avec le pantalon qu'elle fabriquait sur la machine, son visage s'animait, sa bouche s'ouvrit légèrement, ses narines dilatées, ses pieds bougèrent le pédales avec une rapidité sans cesse croissante. Bientôt, j'ai vu un regard convulsif dans ses yeux… un cri étouffé, suivi d'un long soupir… »
Pouillet assista plus tard à un rituel similaire, exécuté par un autre ouvrier. Une superviseure lui a dit que de tels incidents n'étaient pas rares dans l'atelier, en particulier chez les jeunes travailleurs, qui s'asseyaient sur le bord de leur siège pour «faciliter le frottement de leurs lèvres».
Source : Thésée Pouillet, De l'Onanisme chez la Femme, 1877. Le contenu de cette page est © Alpha History 2019-23. Le contenu ne peut être republié sans notre autorisation expresse. Pour plus d'informations, veuillez consulter notre Conditions d’utilisation or contacter Alpha Histoire.