Hitler sur les expulsions juives d'Allemagne (1939)

Adolf Hitler discute et justifie l'expulsion de Juifs d'Allemagne, à partir d'un discours prononcé devant le Reichstag en janvier 1939:

«À propos de la question juive, j'ai ceci à dire: c'est un spectacle honteux de voir à quel point le monde démocratique tout entier dégage de la sympathie pour les pauvres juifs tourmentés mais reste impitoyable et obstiné lorsqu'il s'agit de les aider - ce qui est sûrement au vu de son attitude, un devoir évident.

Les arguments avancés comme une excuse pour ne pas les aider à parler réellement pour nous, Allemands et Italiens. Car c'est ce qu'ils disent:

1. «Nous», c'est-à-dire les démocraties, «ne sommes pas en mesure d'accueillir les juifs». Pourtant, dans ces empires, il n'y a pas 10 personnes par kilomètre carré. Alors que l'Allemagne, avec ses 135 habitants au kilomètre carré, est censée avoir de la place pour eux!

2. Ils nous assurent: nous ne pouvons les prendre que si l’Allemagne est disposée à leur laisser un certain capital à emporter en tant qu’immigrés. Pendant des centaines d'années, l'Allemagne a eu la bonté de recevoir ces éléments, bien qu'ils n'aient rien eu d'autre que des maladies politiques et physiques infectieuses. Ce qu’ils possèdent aujourd’hui, ils ont été largement acquis aux dépens de la nation allemande moins astucieuse par les manipulations les plus répréhensibles.

Aujourd'hui, nous ne faisons que payer à ce peuple ce qu'il mérite. Lorsque la nation allemande fut, grâce à l'inflation provoquée et subie par les Juifs, privée de la totalité des économies qu'elle avait accumulées au cours d'années de travail honnête, lorsque le reste du monde enleva les investissements étrangers de la nation allemande de toutes nos possessions coloniales, ces considérations philanthropiques n’ont manifestement que peu de poids auprès des hommes d’État démocratiques.

Aujourd'hui, je ne peux que garantir à ces messieurs que, grâce à l'éducation brutale avec laquelle les démocraties nous ont favorisés pendant quinze ans, nous sommes complètement endurcis à toute attaque de sentiment. Après que plus de huit cent mille enfants du pays soient morts de faim et de malnutrition à la fin de la guerre, nous avons été témoins de près d'un million de têtes de vaches laitières chassées de nous… conformément aux cruels paragraphes d'un dictat que apôtres démocratiques du monde forcés sur nous comme un traité de paix.

Nous avons assisté à la détention de plus d'un million de prisonniers de guerre allemands sans aucune raison pendant un an après la fin de la guerre. Nous avons vu plus d'un million et demi d'Allemands se faire arracher de tout ce qu'ils possédaient dans les territoires situés à nos frontières et se faire mettre à la porte avec pratiquement ce qu'ils portaient sur le dos. Nous avons dû supporter que des millions de nos compatriotes nous soient arrachés sans leur consentement et sans la moindre possibilité d'existence.

Je pourrais compléter ces exemples avec des dizaines des plus cruels. Pour cette raison, nous demandons d'éviter toute conversation sentimentale. La nation allemande ne souhaite pas que ses intérêts soient déterminés et contrôlés par une nation étrangère. La France aux Français, l'Angleterre aux Anglais, l'Amérique aux Américains et l'Allemagne aux Allemands.

La culture allemande, comme son nom l’indique seul, est allemande et non juive. C’est pourquoi sa gestion et ses soins seront confiés à des membres de notre propre nation. Si le reste du monde réclame avec une hypocrisie mineure cette expulsion barbare d’Allemagne d’un élément aussi irremplaçable et d’une grande valeur culturelle, nous ne pouvons que nous étonner des conclusions qu’ils tirent de cette situation. Car ils doivent être reconnaissants d’avoir libéré ces précieux apôtres de la culture et les avoir mis à la disposition du reste du monde.

Le monde a suffisamment d’espace pour les colonies de peuplement, mais nous devons nous débarrasser une fois pour toutes de l’opinion selon laquelle la race juive n’a été créée par Dieu que dans le but d’être à un certain pourcentage un parasite vivant sur le corps et le travail productif des autres. nations. La race juive devra s’adapter à une activité constructive saine, à l’instar des autres nations, sinon elle succombera tôt ou tard à une crise d’une ampleur inconcevable.

Une chose que je voudrais dire en ce jour, qui pourrait être mémorable pour d’autres, ainsi que pour nous, Allemands. Au cours de ma vie, j'ai très souvent été prophète et j'ai généralement été ridiculisé pour cela. Au cours de ma lutte pour le pouvoir, c’est la race juive qui a reçu mes prophéties avec rires, quand j’ai dit que j’occuperais un jour la direction de l’État et, avec elle, celle de la nation tout entière; et que parmi beaucoup d'autres choses, je réglerais le problème juif. Leurs éclats de rire étaient hilarants, mais je pense que depuis un certain temps, ils rient de l’autre côté de leur visage.

Aujourd'hui, je serai de nouveau prophète. Si les financiers juifs internationaux en Europe et hors d'Europe réussissent à plonger à nouveau les nations dans une guerre mondiale, alors le résultat ne sera pas la bolchevisation de la terre, et donc la victoire de la juiverie, mais l'anéantissement de la race juive en Europe. ! »