Hitler sur le rôle de la femme (1934)

Cette transcription de discours de septembre 1934 contient Adolf Hitlerle point de vue de rôle des femmes. Il présente ici son point de vue sur l’importance du «petit monde» tendu par les femmes:

«Le slogan 'émancipation des femmes' a été inventé par des intellectuels juifs, et son contenu a été formé dans le même esprit. Dans les très bons moments de la vie allemande, la femme allemande n'avait pas besoin de s'émanciper. Elle possédait exactement ce que la nature lui avait donné à administrer et à préserver; de même que l'homme dans ses bons moments n'avait pas à craindre d'être évincé de sa position par rapport à la femme.

Si l'on dit que le monde de l'homme est l'État, son combat, sa volonté de consacrer ses pouvoirs au service de la communauté, alors on peut peut-être dire que celui de la femme est un monde plus petit. Car son monde est son mari, sa famille, ses enfants et sa maison. Mais que deviendrait le plus grand monde s'il n'y avait personne pour s'occuper du plus petit? Comment le grand monde pourrait-il survivre s'il n'y avait personne pour faire des soucis du petit monde le contenu de leur vie?

Non, le grand monde est construit sur les fondations de ce monde plus petit. Ce grand monde ne peut pas survivre si le petit monde n'est pas stable. La Providence a confié à la femme les soins de ce monde qui lui est propre, et ce n'est que sur la base de ce monde plus petit que le monde de l'homme peut se former et se construire. Les deux mondes ne sont pas antagonistes. Ils se complètent, ils vont ensemble comme l'homme et la femme vont ensemble.

Nous ne jugeons pas correct que la femme s'immisce dans le monde de l'homme, dans sa sphère principale. Nous considérons qu'il est naturel que ces deux mondes restent distincts. A l'un appartient la force du sentiment, la force de l'âme. A l'autre appartient la force de la vision, de la dureté, de la décision et de la volonté d'agir. Dans un cas, cette force exige la volonté de la femme de risquer sa vie pour préserver cette cellule importante et la multiplier, et dans l'autre cas, elle exige de l'homme la volonté de sauvegarder la vie.

Les sacrifices que l'homme fait dans la lutte de sa nation, la femme fait dans la préservation de cette nation dans des cas individuels. Ce que l'homme donne en courage sur le champ de bataille, la femme le donne en sacrifice éternel, en douleur et souffrance éternelles. Chaque enfant qu'une femme met au monde est une bataille, une bataille menée pour l'existence de son peuple. Et tous deux doivent donc se valoriser et se respecter mutuellement lorsqu'ils voient que chacun accomplit la tâche que la Nature et la Providence ont ordonnée. Et ce respect mutuel résultera nécessairement de cette séparation des fonctions de chacun.

Il n'est pas vrai, comme l'affirment les intellectuels juifs, que le respect dépende du chevauchement des sphères d'activité des sexes; ce respect exige qu'aucun sexe n'essaye de faire ce qui appartient à la sphère de l'autre. Il réside en dernier ressort dans le fait que chacun sait que l'autre fait tout ce qui est nécessaire pour maintenir l'ensemble de la communauté. Notre mouvement des femmes n'est donc pas pour nous quelque chose qui inscrit sur sa bannière comme programme la lutte contre les hommes, mais quelque chose qui a pour programme le combat commun avec les hommes. Car la nouvelle communauté nationale national-socialiste acquiert une base solide, précisément parce que nous avons gagné la confiance de millions de femmes en tant que camarades fanatiques ...

Alors qu'auparavant les programmes des mouvements féministes libéraux et intellectualistes contenaient de nombreux points, le programme de notre mouvement des femmes national-socialistes n'a qu'un seul point, et ce point est l'enfant, cette minuscule créature qui doit naître et devenir forte et qui seule donne sens à toute la lutte de la vie.